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Famille Vandeputte investit dans recherche universitaire en matière de sécurité

Avec la Chaire Vandeputte, la première chaire financée par un particulier à Anvers, c'est un sérieux coup de pouce qui est donné à la recherche scientifique dans le domaine des sciences de la sécurité.

Dans le monde des entreprises, il y a longtemps déjà que la sécurité occupe une place importante. Ce sujet intéressait moins le monde universitaire, mais l'année passée, l'Université d'Anvers a changé la donne. C'est au cours de l'année universitaire écoulée que la maîtrise en sciences de la sécurité a vu le jour pour la première fois. La formation connaît un grand succès : pour l'année universitaire en cours, 27 étudiants se sont déjà inscrits à la formation de deux ans.

Recherche scientifique en matière de sécurité

La création de la Chaire Vandeputte, doctorat en sciences de la sécurité, a aussi pour effet d'encourager la recherche scientifique dans ce domaine. Durant quatre années, Karolien van Nunen suivra des études doctorales sur l'évaluation et l'amélioration de la qualité des différents domaines qui composent la culture de sécurité d'une organisation. Van Nunen deviendra la première licenciée en sciences de la sécurité.

Pendant quatre ans, la Chaire Vandeputte prend en charge les frais de personnel de la licenciée et ses moyens de fonctionnement et sera entièrement financée par Gilbert Vandeputte, ex-directeur général de Vandeputte.

Une chance unique

Quant au pourquoi de ce don, Gilbert Vandeputte donne l'explication suivante : “Toute ma vie est sous le signe de la sécurité. Pendant ma carrière, j'ai donné de nombreuses formations de sécurité à des personnes de secteurs très variés. Mais il manquait quelque chose. La sécurité était délaissée par les universités, une branche telle que les 'sciences de la sécurité' n'existait pas.”

“La formation en sciences de la sécurité à l'Université d'Anvers est une excellente opportunité pour moi, qui ne se représentera probablement plus dans ma vie. La recherche scientifique en matière de sécurité doit à terme changer le comportement des gens.”